Comment "Gagner" Au Jeu De La Biscotte Sans Y Jouer

J’ai 37 ans je suis gay et après une petite vingtaine d’années de pratique du rugby à un très bon niveau amateur, je suis devenu entraîneur. Depuis quelques années je suis en charge de la sélection régionale de moins de 20, ils ont donc tous entre 18 et 20 ans. C’est une joyeuse petite troupe de 22 garçons, les meilleurs de la région PACA. Durant mes années de pratiques bien que mes co-équipiers savaient tous que je suis gay, j’ai eu quelques histoires chaudes que je vous raconterai surement un jour. J’ai souvent rêvé de participer au jeu de la biscotte et évidemment de tout faire pour perdre. Le jeu est simple les mecs se branlent au dessus d’une biscotte et le dernier qui éjacule doit manger la biscotte, s’il refuse tous les autres doivent l’enculer… J’ai longtemps douté que cette pratique existait vraiment sauf que certains disaient y avoir joué. J’aurai évidement perdu tant j’aime avoir du sperme dans la bouche. Bref, dimanche dernier nous partons avec la sélection pour un match en Rhône-Alpes. Durant le trajet dans le car et dans un bordel à la hauteur de la réputation des rugbymen, j’ai entendu à plusieurs reprises le mot « biscotte » notamment lors d’un arrêt dans une station service : « Putain les gars y a pas de biscottes » lance le capitaine à ses joueurs…à partir de là, j’ai eu du mal à me concentrer pour le reste de la journée, l’idée qu’ils organisent ce jeu, m’excitait au plus haut point mais me rendait fou, puisqu’il était évident que je ne serais pas dans la partie. Nous arrivons à St Etienne et prenons possession de vestiaires.
Vieux complexe sportif, on me donne deux clés, l’une pour le vestiaire des joueurs, l’autre pour celui du staff composé d’un kiné, d’un administratif et de moi. Etant le seul à me changer pour participer activement à l’échauffement, je suis donc le seul à m’installer dans le vestiaire. Je suis frustré de ne pas être, comme souvent, dans le même vestiaire que les joueurs. Malgré tout, je trouve rapidement deux motifs de satisfaction à cette situation : La cloison qui sépare ma douche de celle des joueurs est trouée à deux endroits, des petits trous, mais des trous suffisant pour avoir une vue imprenable sur les douches de mes protégés, la deuxième satisfaction est finalement mon absence du vestiaire des joueurs et donc la possibilité pour eux de mettre sans problème en pratique leur petit jeu… 11h00 : décrassage, 12h00 déjeuner, 14h00 début de l’échauffement, 14h40 retour au vestiaire des joueurs pour la mise en condition psychique : discours débile dont je vous passe le contenu : 15h00 match…16h35 victoire : 7-18 !! Les choses sérieuses peuvent commencer.

Je prends ma douche en deux minutes et me rhabille pour pouvoir parer à toutes situations. Durant le match une idée à la con m’est venue et j’ai bien l’intention de la mettre en pratique… Je retourne dans ma douche et commence à observer les douches de mes joueurs. L’ambiance est festive, je mate, je bande comme un fou, observer sans retenue pour la première fois ces garçons dont je connais les corps, me fait tourner la tête, je commence à me branler à travers mon survêt, les minutes passent puis le capitaine au centre des douches collectives demande le silence et présente un gobelet en plastique d’un assez grand volume en guise de biscotte. Les mecs éclatent de rire. Mon rythme cardiaque accélère brusquement. Le capitaine commence à se branler la bite dans une main et le gobelet dans l’autre, les autres suivent sans rechigner. Leurs bites raides sont en relation avec leurs physiques d’athlètes. Je me branle de plus en plus vite, j’ai déjà envie de jouir, je ralenti la cadence. Un premier gars se rapproche du gobelet que lui tend le capitaine il y jouit 3 ou 4 giclés de foutre bien épais dans un éclat de rire général, puis deux autres se rapprochent rapidement et giclent en même temps, cette vision excitante provoque j’éjaculation du capitaine. Les autres mecs se marrent en se branlant chacun à sa vitesse, certains avec deux doigts, d’autre avec toute la main, mais chacun la sienne. Certains matent les bites de leurs potes d’autres essayent de jouir le plus vite possible en regardant le plafond. J’arrête de me branler sinon je vais exploser. Les mecs dans les douches défilent dans un rythme de plus en plus rapide pour se vider dans le gobelet qui commence à bien se remplir. Certains restent sous les douches pour voir la conclusion du jeu et d’autre se cassent soulagés de ne pas avoir perdus. Les derniers concurrents ne se marrent plus du tout, finalement ils ne sont plus que trois à ne pas avoir giclés. C’est le moment d’agir et de me mettre mon plan à exécution. Je quitte mon vestiaire et j’entre dans celui des joueurs, certains déjà habillés font discrètement barrage pour que je ne puisse pas voir dans la douche.
Je leur explique que nous sommes attendus pour la réception et que nous avons un long voyage à faire pour rentrer tous chez nous, je reste sur place et je suis super directif. Devant mon insistance, les gars quittent tous un à un les douches. Tout en les félicitant pour leur victoire et en refaisant le match, je me dirige, l’air de rien, vers les douches pour y jeter un coup d’œil, YES mon plan a fonctionné le gobelet est dans un coin de la douche et semble bien rempli. Excité à mort, je leur demande d’accélérer le mouvement, Ils se rhabillent en silence, c’est le capitaine qui quitte en dernier le vestiaire, il a l’air dégouté, moi j’essaye de cacher mon érection et mon excitation. Je ferme la porte à clés en quittant le vestiaire avec le capitaine. Là, je prétexte de devoir voir l’arbitre pour une histoire de carton jaune, les joueurs se dirigent tous vers le club-house pour la réception. Seul dans le couloir je rouvre le vestiaire des jeunes, je me dirige cash vers les douches et je ramasse le gobelet, je le mets sous ma veste et je retourne illico dans mon vestiaire où je m’enferme. A partir de là, je commence à vivre l’un des moments les plus chauds de ma vie, je suis là, assis sur une chaise avec le gobelet sur la table devant moi, je cherche dans mon sac un flacon de Poppers, j’en ai toujours avec moi. Je recommence à me branler tout doucement, je mouille à fond. Le gobelet doit contenir une bonne douzaine de centilitres de foutre, il est plein à un tiers, je n’en ai jamais vu autant. Je m’allume une cigarette, et je commence par sentir ce contenu tant convoité, l’odeur est forte et délicieuse, le mélange d’une vingtaine de foutre différent est agréable. Je fais tourner le gobelet pour mélanger son contenu, la texture est très variable, la couleur aussi allant du blanc intégrale ou blanc cassé très légèrement jauni. Le tout est très visqueux. Je tire quelques tafs sur ma clope, je prends un grand coup de poppers et je porte le gobelet à ma bouche, doucement, je fais clissé ce foutre le long de la paroi du gobelet.
Le sperme est au bord, il touche mes lèvres, il est encore chaud, je sors ma langue pour la tremper dans ce nectar, un frisson traverse tous mon corps. J’hésite sur la méthode, je veux en profiter au maximum. Ma langue retourne dans ma bouche apportant avec elle du sperme dont quelques filaments coulent sur mes lèvres. Je penche ma tête en arrière, j’ouvre légèrement ma bouche et je commence à faire coller lentement le foutre entre mes lèvres, il s’y déverse doucement à un rythme irrégulier en fonction de la viscosité du foutre d’un mec à l’autre. J’ai versé prés de la moitié du gobelet dans ma bouche. Je le repose sur la table, reprends un grand coup de poppers et je déguste, je joue avec ce foutre dans ma bouche, de temps en temps j’avale de toutes petites gorgées, je snife encore du poppers, j’avale et je resnife, je pense à ces jeunes mecs qui m’excitent depuis un moment et sans même me toucher j’éjacule dans un spasme qui secoue tout mon corps. J’avale le reste du sperme que j’ai en bouche. 15 minutes extraordinaires viennent de passer. Il faut reprendre mes esprits, j’ouvre mon sac, j’y trouve une bouteille d’’eau, je la vide, j’y fais couler le rester du gobelet, je range la bouteille dans mon sac. Avec ma langue et mon doigt j’ai nettoyé le gobelet avant de le jeter. J’ai repris mes esprits, je quitte le vestiaire et je vais discrètement rejoindre tout le monde à la réception. Je ne bois, ni ne mange rien, je veux garder se gout extraordinaire dans ma bouche, J’ai hâte de rentrer chez moi pour finir la bouteille mais je ne sais pas si je vais pas en consommer déjà un peu sur le chemin.

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